Des pièces acquises dès les années 1970 dans des salles de ventes ou chez de nombreux antiquaires européens et notamment en Italie, France, Allemagne, Espagne, Portugal ou encore Belgique. Les centres de production d’orfèvrerie religieuse les plus réputés étaient représentés dont Augsburg, Naples ou Moscou. Cette collection a suscité un vif intérêt auprès des amateurs et collectionneurs internationaux avec 98% de produit vendu. On a assisté à de belles batailles d’enchères en salle, par téléphone et sur internet. L’enchère la plus élevée s’est portée sur le Lot 50, un calice en vermeil richement ciselé sur fond amati qui s’est vendu 8 090 €, soit plus de trois fois l’estimation.